Note de l'éditeur La naissance de deux enfants Jésus constitue l’un des plus grands secrets révélés de l’histoire de l’humanité. Rudolf Steiner en parla pour la première fois en 1909, mais le fait reste pratiquement ignoré. Depuis, les manuscrits de la mer Morte ont pourtant montré que le peuple hébreu vivait dans l’attente de deux messies. L’inattendu, c’est que l’on trouve dans bien des oeuvres d’art une connaissance de ces faits. De nombreux tableaux – de Raphaël, du Vinci, de Bernard Van Orley, du Borgognone – jusqu’ici peu remarqués, sont étudiés de près par l’auteur. Il n’est plus possible de douter que l’on trouve là la trace d’une tradition définie, qui s’est conservée à travers les siècles : on a su autrefois qu’il a existé deux enfants Jésus appartenant à deux familles différentes.
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Note de l'éditeur Le retable d’Issenheim est né il y a plus de cinq cents ans de la collaboration entre le peintre Matthias Grünewald et le prieur du couvent des Antonins d’Issenheim, Guido Guersi. Grâce à ces deux êtres d’exception est né ce chef-d’œuvre de l’art sacré, que l’on peut aujourd’hui contempler et admirer au musée d’Unterlinden, à Colmar. Le peintre et son commanditaire s’étaient approchés des mystères les plus profonds du christianisme, inconnus du plus grand nombre, et les ont transmis sous une forme cryptée dans les innombrables motifs des différents panneaux du retable.
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