Note de l'éditeur
Le récit passionné d’une vie qui est à la fois un témoignage unique sur la culture russe à l’aube du 20e siècle, et sur Rudolf Steiner au moment du développement de l’anthroposophie. Margarita Volochina (1882-1973), profondément liée à la Russie, était peintre et chercheur. Elle nous fait partager son enfance dans le vieux ­Moscou, ses études de peinture auprès d’un peintre d’icones puis d’Ilya Répine. Elle s’interroge? : « ?Pourquoi peindre ce qui est déjà là? ? Qui est-ce que je sers avec ma peinture? ?? » Une visite chez Léon Tolstoï ne lui apportera aucune réponse. Elle traduit Maître Eckhart. Aux côtés du poète et peintre symboliste Maximilian Volochin, elle voyage sans cesse entre Moscou, Saint-Petersbourg, Paris, Rome, Zurich, Munich, Bucarest. Après avoir entendu une conférence de Rudolf Steiner à Zurich en 1905, elle trouve lentement le chemin vers l’anthroposophie, mais le milieu des anthroposophes la laisse fort perplexe. Lorsque le premier Goethéanum est construit, elle vient à Dornach­ peindre les fresques de la petite ­coupole. En 1917, la révolution bolchevique éclate en Russie­. Margarita, qui a rejoint ses proches à Moscou, ne peut plus repasser la frontière. Elle ne reviendra à Dornach que le 2?janvier 1923, pour découvrir les cendres du bâtiment. À côté du fameux livre Souvenirs sur Rudolf Steiner­ d’Andréï Biély, l’autobiographie de Margarita Volochin nous apporte l’un des témoignages les plus vivants, sensibles et intelligents qui soient sur l’activité de Rudolf Steiner et ceux qui l’entouraient, entre?1905 et?1917. Ce texte magnifique paraît pour la première fois en français, dans une traduction tout en finesses et en rythmes d’Amélie Lange, avec deux ­préfaces de Sergej Prokofieff, l’une pour les Russes (1991), l’autre pour les Français (2013).
[978-2-85248-381-1]  Détails

Sommaire

.

[triskel46-2]

Quatrième de couverture
En 1915, un jeune musicien tombait sur un champ de bataille de la Grande Guerre. Peu de temps après, ses sœurs eurent la surprise de recevoir des messages qui provenaient clairement de lui. Ces communications se prolongèrent pendant longtemps. Les sœurs du défunt les notèrent et, prises de doutes, redoutant une aberration de leur imagination, s'adressèrent à Rudolf Steiner pour lui demander si elles pouvaient avoir foi en ces messages. Il leur confirma leur authenticité et les encouragea à continuer de les noter.
Ce sont ces messages que nous proposons aujourd'hui dans cet ouvrage. Ils témoignent de l'intérêt des « morts » pour les vivants. Ils créent un pont entre les mondes terrestre et supraterrestre et prennent ainsi une portée universelle. [2-910112-50-0]

Note de l'éditeur
Rudolf Steiner était-il politiquement engagé ?
Comment le prolétariat social marxiste accepta-t-il une vision spirituelle du monde ?
Quelle fut l'attitude sociale de Rudolf Steiner au contact d'une population manipulée par les syndicats ?
Les témoignages de J. Mücke et A. Rudolph fournissent une réponse éloquente.
[2-88-189-096-2]

Note de l'éditeur
Propos recueillis par Jacob Streit.
Collaboratrice de Rudolf Steiner pendant de longues années, Anna Samweber avait pris une part directe à ses activités
....Petite, le verbe incisif, pleine de vivacité, elle tirait d'une mémoire très présente, très concrète, des souvenirs d'une vivante clarté.
[2-88-189-114-4]

Le témoignage autobiographique d'une femme aveugle de naissance, qui raconte ses rencontres avec les êtres élémentaires, et qui nous fait toucher du doigt la nécessité d'élargir notre propre conscience, notre faculté d'attantion et d'amour.

Nous remercions les Editions Iona pour leur aimable autorisation et encouragement à reproduire les éléments ci-dessus
[iona05-4]

Au début, lorsque Monique prit conscience de la gravité de la situation, sa question était lourde de désespoir et de révolte.
Elle n'était qu'accusation, accusation contre ce qu'avaient été sa vie et son destin (...) mais vint le moment où j'eus de plus en plus l'impression que la force avec laquelle Monique posait cette question (...) s'intériorisait... Elle put exprimer le fruit que cette terrible maladie avait produit en elle : "J'ai mûri, j'ai appris à avoir plus d'amour en moi ; je vis bien plus intensément le silence, le calme et toutes les petites choses à côté desquelles je passais jadis sans les voir (...). Est-ce peut-être la raison pour laquelle je devais traverser tout cela ?"
Des malades du Sida parlent d'eux-mêmes.

Sept jeunes gens parlent de leur biographie. Ils ont eu le courage de relater, sans fard, ce qui leur est arrivé, comment ils assument les événements et comment ils cheminent vers la mort.

Leur message est boulversant et magistral.

Nous remercions les Editions Iona pour leur aimable autorisation et encouragement à reproduire les éléments ci-dessus
[iona50-x]

"Marcher avec le Chrisr", tel est le titre auquel pensait Claude merlet, à l'idée que l'on publierait de ses écrits, après sa mort. Et ce sont ces mots que l'on peut placer en exergue au-dessus de sa vie. C'est l'amour du Christ qui l'a soutenu pendant les années où il fut prêtre catholique. C'est la fidélité à ce maître qui l'a poussé, à l'âge de quarante et un ans, à engager ses forces dans le mouvement de renouveau religieux connu sous le nom de "Communauté des chrétiens". C'est de cette présence au centre de son être qu'émanait son humilité, sa simplicité, mais aussi sa solidité et sa positivité profondes, sans oublier son humour ; car il savait rire...

il fait bon sentir à nos côtés ce compagnon invisible.

Nous remercions les Editions Iona pour leur aimable autorisation et encouragement à reproduire les éléments ci-dessus
[iona61-5]

Sommaire

[2-85248-102-2]